2 novembre 2005
Sous les mêmes cieux
Sous les mêmes cieux.
Perdre mes yeux là où tu as promené les tiens
Respirer le même air du même souffle.
Sentir mon cœur battre de plus en plus fort
Et marcher.
Marcher jusqu’à ce que tu me vois.
Jusqu’à l’aube,
où enfin ton regard me transpercera l’âme et le corps
Pour m’emmener, ne serait-ce qu’un instant.
Humer l’air de la ville.
La noyer de mes larmes salées
Je me languis de la chaleur de tes mains,
De mettre mes empreintes dans les tiennes
Et par ce geste t’appartenir un peu,
Juste un instant fugace être à toi, …au moins une fois.
Je dédicace ce poème à Martina et à sa ville fétiche Londres...
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